quinta-feira, maio 25, 2006

enfin, la critique


Sous les froufrous de la cour, Sofia Coppola enregistre les battements d’un cœur juvénile. Enivrant.

Après avoir été le projet le plus ceci, et donné lieu au tournage le plus cela, Marie-Antoinette, l’épreuve de vérité, le film. Qui arrive donc avec autant de casseroles potentielles (trop mode, trop chic, trop américain, trop médiatisé) que sous d’heureux auspices : ce troisième long métrage de Sofia Coppola augmente un début de filmographie exceptionnel, prenant la suite de Virgin Suicides et de Lost in translation.

Sem comentários: